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24.03.2015 - Version finale (corrections intégrées) des observations de la Fondatrice Séverine Serres concernant la Loi Macron (texte n°300 en commission au Sénat) : des amendements indispensables (à lire et imprimer ci-dessous) pour la croissance en France, et l'avenir des diplômés en France (transmission aux groupes politiques au sénat, et aux professions) ; le texte en cours d'étude au sein de la Haute Chambre, allait être discuté en hémicycle le 07/04/2015, au moment de la publication de ce communiqué.

Tous les praticiens ont été invités à contacter leurs sénateurs cette semaine d'urgence, pour leur demander de porter les amendements proposés, qui sont la solution, l'unique voie d'avenir respectueuse de toutes les parties prenantes, leurs générations successives, au sein et au service de la Cité.

Voir ci-dessous le document de contribution, puis infra un extrait du message d'accompagnement.
Si vous ne visualisez pas la liseuse cliquez ici pour voir le document sur ISSUU



Extraits du message adressé par la fondatrice FEDJF aux groupes politiques au Sénat (et aux professions) : "J'ai entendu les remarques des professions du droit, que je connais bien, et propose au travers d'amendements, en lien ici pour votre parfaite information, une voie plus respectueuse des priorités, tout en intégrant les évolutions qui doivent être achevées notamment s'agissant du processus de Bologne, et d'autres qui sont déjà en marche comme la carte professionnelle européenne.[...]Les solutions que je propose sont équilibrées (corrections faites des coquilles/erreurs de la version que j'avais bouclée dans la hâte la semaine dernière) et permettent de nouveaux débouchés, raisonnables, comme des mesures intéressantes pour les entreprises et les structures de praticiens qu'ils exercent à titre principal ou accessoire.

La représentation nationale est appelée à ouvrir ces voies raisonnables, dans le respect des professions, appelées elles aussi à la raison, pour le bien de la Cité, et celui des jeunes de France et des moins jeunes, compétents, pour répondre aux besoins des entreprises et des particuliers sur un pied d'égalité avec les autres diplômés au sein de l'Union ou venus d'ailleurs, et a minima sans désavantager ceux qui sont issus de nos universités ou autres structures financées par l'argent du contribuable [en France].


Séverine Serres"

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