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09/11/20 Etat d'urgence sanitaire Covid-19 et régime transitoire: régimes exorbitants à durée disproportionnée, et non nécessaires, à l'opposé des annonces faites par le Président devant la Nation - Vote biaisé au Parlement, d'un texte à l'opposé de la revoyure annoncée à la Nation, vu les durées non conformes à la définition et donc à la preuve requise de necessité et de proportion, relatives à l'urgence sanitaire, et vote opéré de surcroît sans que les publications obligatoires aient été faites, pire : dont le défaut s'aggrave.

En mars 2020, la loi cadre instituant l'Etat d'urgence sanitaire a prévu la publication obligatoire des données médicales disponibles; or, en dépit de la promesse faite à la Nation par le Président de la République, tout a été fait pour biaiser l'information: le 05/11/2020 à l'heure de la conférence de presse donnée au public par le Gouvernement (18h30), et manifestement destinée à convaincre d'un danger suffisamment effrayant pour appuyer la possibilité de privations de libertés via des régimes exorbitants pendant des durées iniques, alors en débat très controversé au Parlement depuis plusieurs semaines, en particulier le vote d'un Etat d'urgence et son ersatz avec des durées gravement disproportionnées: les points épidémiologiques de Santé publique France datés du 05/11/2020, n'avaient en réalité, pas été rendus publics le 05/11/20 à 18h30 heure de la conférence, d'une part (imprim'écran horodaté, voir infra ici); d'autre part, le 07/11/2020 lors du vote définitif des dits régimes exorbitants avec les durées très gravement disproportionnées, Santé publique France n'avait pas publié les points épidémiologiques régionaux mis à jour au 05/11/20 de la plupart des régions notamment l'Ile de France, à l'exception de 4 régions seulement (les 14 publications régionales manquantes n'étaient toujours pas publiées le 09/11/2020 au matin: imprim'écran horodaté, voir infra ici).

Enfin, comme déjà signalé officiellement ici, preuves de la disparition à l'appui dès le 27/10/2020 (ensemble mis à jour le 08/11/2020, à lire ICI), après plusieurs mois d'alertes raisonnables et mesurées par la FEDJF et sa fondatrice, sur les réseaux sociaux, il est dorénavant plus qu'établi et impossible à taire, que les données concernant les types de réanimation, permettant d'évaluer correctement la situation sanitaire médicale provoquée par le virus covid-19, ont complètement disparu des points épidémiologiques publiés, et ce, au profit d'une substitution par des considérations psychologiques et psychiatriques extrêmement dangereuses et qui ne sont d'aucune utilité pour évaluer le risque rationnel médical du virus; pourtant c'est bien au prétexte d'une connaissance scientifique médicale, que sont imposées des privations de libertés aux Citoyens via des régimes exorbitants à durée disproportionnée, et sans que soit jamais mise en exergue la mortalité réelle (grahiques mis à jour, à consulter ICI). Il y a donc bien une supercherie établie.

Après vérification, il est en effet confirmé que la disparition totale de toute publication des données rationelles des types de réanimation est intervenue depuis juillet 2020, après leur disparition partielle, soit dans le point national, dès le mois d'avril 2020.

En réponse aux alertes formulées à ce sujet, une réponse a été publiée par Santé publique France datée de mémoire du 21 ou 23/10/2020: cette communication admet que ces données ont disparu des publications depuis juillet car, selon Santé publique France, elles n'étaient plus apparues pertinentes face à la baisse des hospitalisations et réanimations (ce qui n'est pas exact dans certaines régions notamment les Hauts de France ou en Outre mer où les hospitalisations et réanimations demeuraient révélatrices d'une circulation persistante du virus cet été); elle indique aussi que la Région Pays de la Loire aurait poursuivi la surveillance; pourtant, il n'y a plus aucune publication de ces données, même dans cette région, depuis juillet 2020.


Tout cette situation est très choquante. Sans jamais nier la dangerosité du virus, et sans même nier la nécessité d'un nouveau confinement dès lors que sa durée était strictement proportionnée (15 jours, à maximum 1 mois, et revoyures régulières tous les 15 jours), notre fondatrice n'a cessé de rappeler combien une telle dérive de privation de l'information rationnelle, est dangereuse.

Les Juristes de France, constatant que l'annonce faite par le Président de la République au Peuple de France, qui l'engageait à une revoyure régulière, a été transgressée, puisqu'elle n'est pas retranscrite expressément comme telle dans le texte voté grâce à la majorité parlementaire qu'il contrôle, ne peuvent que souligner à nouveau les dérives graves ainsi constatées, et le danger qu'elles font courrir.

Lorsque la parole du Président de la République donnée à la Nation, n'est pas respectée dans le texte qu'il fait voter par sa majorité, et lorsque la communication sensationnelle de son Gouvernement est organisée pour prendre le pas sur les données rationnelles dont la publication n'est plus garantie, jusqu'à une substitution des faits rationnels opérée au profit de considérations psychologiques et psychiatriques par nature incertaines, et qui sont très déplacées, et de fait disqualifiantes de toute opposition, ce qui s'ajoute à des pratiques sporadiques mais déjà constatées précédemment, d'une prédominance anormale de telles considérations psychiatriques, au détriment de principes fondamentaux tel le contradictoire et la responsabilité : alors la bascule d'un Etat de droit vers les prémisces d'une dictature, est légitimement à craindre et ne peut pas être tue. Et il est très préoccupant de constater le silence de la plupart des intellectuels face à cette dérive établie chaque jour un peu plus, très attentatoire aux libertés.

Notre fondatrice tient à saluer le courage de ceux trop peu nombreux, qui s'en émeuvent, notamment celui qui a eu le courage encore ce matin de souligner ce risque de bascule sur les plateaux TV : M. Comte-Sponville.

Alerte est donc ici renouvelée sur cette dérive extrêmement grave et préoccupante constatée en France depuis un certain temps, et dorénavant largement établie comme parfaitement visible à l'occasion de la pandémie du virus covid19.

C'est sur la base de ces constats rationnels, que notre fondatrice appelle depuis plusieurs jours les Juristes qui mènent et mèneront des recours, à agir également par la voie pénale dorénavant nécessaire sur la base de ces constats et incontournable pour sauvegarder les libertés des Citoyens, face à tout abus découlant naturellement du texte voté, manifestement disproportionné, et pris sur la base d'une communication sensationnelle organisée et sciemment biaisée, à la place de l'information scientifique requise, dans un contexte où la promesse télévisée de revoyure, n'a donc pas été retranscrite dans les dispositions légales portées par la majorité que le Président contrôle; et qui constitue en conséquence une promesse qu'il peut donc rompre ou respecter, arbitrairement, ce qui est dorénavant parfaitement établi.

Etat de faits, que notre fondatrice déplore vivement, comme étant le pire choix qu'un Président de la République prétendant être le renouveau pouvait faire, sous le mandat duquel déjà, de nombreuses erreurs graves ont été commises et une tendance à la disproportion constatée dès le début.

Tendance récurrente à la comédie médiatique, particulièrement la démonstration de violence, ou au contrôle par la peur ou le mensonge, et qui, à ce jour, n'est hélas toujours pas corrigée, donc; alors même que les Citoyens ont besoin d'un Président qui les protège et protège leurs libertés, en ces temps troublés, et à l'heure où la Nation est frappée régulièrement par le terrorisme obscurantiste qui s'attaque précisément à leurs libertés.

S'autoriser dorénavant ainsi (ce qu'a fait la majorité en s'exonérant de voter un texte dans des termes engageants conformes à la promesse du Président) à la latitude totale d'un régime dictatorial ce que constitue la non transcription de la revoyure dans le texte, est une profonde erreur politique et une grave faute civique, seule offense possible envers le Peuple de France : oui, est dictatoriale, et constitue une faute, la latitude de rompre ou respecter arbitrairement la promesse faite par le Président au Peuple de France, dans un contexte de disparition d'information établie au profit d'une disqualification organisée autour de la psychologie et la psychiatrie, après tant d'erreurs déjà commises, et alors que le Peuple de France est très meurtri, et avait déjà été déçu par plusieurs décennies de méfaits politiciens, et parfois de dysfonctionnements de ce que le Général de Gaulle avait érigé en seule Autorité dans le pays (la Justice), comparée aux jeux de pouvoirs (législatif et exécutif) dont il avait peut-être déjà diagnostiqué les excès.

Ce qui vient de se produire en France, au Parlement du fait de la majorité présidentielle, est non seulement déplorable, mais c'est aussi très irresponsable car cela laisse et laissera pour l'avenir, la voie aux extrêmes et la violence, ce qui est extrêmement dangereux.

Que d'actes manqués pour la majorité qui prétendait changer la politique pour le meilleur, vers un nouveau monde. La déception est grande, et notre fondatrice, bouleversée par la gravité de la situation, ne cache pas sa grande inquiétude, face à ces faits graves établis.

Les Juristes de France, attachés à l'Etat de droit, refusent un Etat psychiatrique disqualifiant faussement ses opposants comme atteints d'"état mental dégradé" tel que posé dans les publications de Santé publique France (voir ICI), et refusent un Etat violent où la force publique ou la propagande, est utilisée en bouclier de dernier recours pour protéger l'incompétence d'individus élus ou désignés, de la maljorité mais pas seulement, et incapables de se remettre en question, qui sont les seuls responsables du mécontentement qu'ils ont eux-mêmes provoqué souvent par leur incapacité, due à de l'incompétence, à faire mieux que les prédécesseurs; ce alors même que bien souvent, notre fondatrice, leur a mâché mot pour mot le travail généreusement depuis 12 ans, alors qu'elle, est loin d'être une nantie, et très loin de s'être jamais permise le quart des dérapages et outrages, de tels enfants pourris gâtés qui ont même failli déclencher une guerre civile, c'est dire; et on voit chaque jour la résurgence de la violence, en conséquence de leur incompétence et leurs dérives.

Les Juristes de France exigent que soit garantie, conformément au droit en vigueur en France, une République apaisée où les principes et droits fondamentaux des Citoyens sont respectés, de tous les Citoyens et pas seulement quelques privilégiés nantis qui se croient tout permis manifestement; les Juristes de France exigent qu'y règnent la mesure et la Justice au bénéfice de tous, au contraire de la violence, la disproportion et la désinformation systématiques révélatrices de l'arbitraire ; droits fondamentaux parmi lesquels le droit de contester pacifiquement librement la politique sanitaire excessive menée, manifestement totalitaire dans de telles conditions, sans être disqualifié dans des publications officielles opportunes comme étant en "état mental dégradé", ce qui est un outrage à l'intelligence des français, plus que caractérisé (voir ICI).

Les Juristes de France condamnent de la façon la plus ferme qui soit, de tels agissements et dérives, en espérant que le texte biaisé voté le 07/11/20, rompant de façon criante l'engagement pris devant le Peuple par le Président de la République, en est enfin l'apogée, qui provoquera enfin une prise de conscience définitive, et appellent au retour, plus qu'attendu, de l'Etat de droit, incluant le rétablissement des publications des données disparues, et la paix civile par la sanction, via l'autorité de la Justice (seule voie dorénavant ouverte), de la disproportion caractérisée outrageante établie par le texte du 07/11/20; sanction dont l'exemple, redonnerait à la Justice son autorité, et permettrait de lutter valablement contre toutes les formes de violence et d'arbitraire au sein de la Cité, qui ne cessent de se développer vu le triste exemple qui est donné jusque là..., ce qui n'a que trop duré.

Fédération des Juristes de France. (tous droits d'auteur réservés, voir les mentions légales)

Points épidémiologiques non publiés le 05/11/20 à l'heure du point presse à 18h30 (imprim'écran 20h07).



14 Points épidémiologiques régionaux non publiés toujours manquants le 09/11/20 au matin (imprim'écran 10h48).